"Mad Max : Fury Road" reprend un peu les choses là où "Mad Max 2 : le défi" les avaient laissées en 1981. Tom Hardy ("Inception", "The Dark Knight Rises"...) endosse le rôle jadis tenu par Mel Gibson dans la trilogie des Mad Max. Derrière la caméra, on retrouve le père de la série, George Miller, qui revient à ses premières amours (le film d'action), bien loin des "Happy Feet" et "Babe 2" ! On pourra également voir la nouvelle coupe de cheveux de Charlize Theron qui s'est rasée de près pour l'occasion. C'est au Comic-Con, à San Diego, que la bande-annonce du quatrième volet des aventures post-apocalyptiques de Max a été dévoilée. Le film sera sur les grands écrans en mai 2015. Patience...
Marvel et Sony continuent allègrement de mettre la pression avec la promo de The Amazing Spider-Man : Le Destin d'un héros, qui sort chez nous le 30 avril 2014 et dont on nous propose ici un nouveau trailer bourré d'images inédites. Dans cette suite toujours réalisée par Marc Webb, Peter Parker devra faire face à Electro (Jamie Foxx - ndlr : dont on regrette qu'il ne porte pas le costume vert et jaune des 70's), Rhino (Paul Giamatti) et bien entendu sa némésis Harry Osborn (Dane Dehaan, Chronicle) alias le Bouffon Vert. Quant à Mary Jane, son personnage ayant été coupé au montage afin de lui réserver la primeur du troisième opus, il faudra se contenter de retrouver Gwen Stacy sous les traits de la belle Emma Stone !
Cédric Delelée
Source : www.mad-movies.com
The Amazing Spider-Man, le destin d'un héros, les origines d'Electro
The Amazing Spider-Man, le destin d'un héros, trailer 3
Le prochain film de Rob Zombie a pour titre The Lords Of Salem.
Produit par Jason Blum, Steven Schneider et Oren Peli, les producteurs de Paranormal
Activity, The Lords Of Salem débute au XVIIème siècle, à Salem (Massachusetts),
où 22 jeunes femmes soupçonnées de sorcellerie sont capturées par les Lords de
Salem qui les exécutent après un procès expéditif. En fait, parmi ces 22
femmes, seules 4 d’entre elles sont de vraies sorcières qui jurent de revenir
se venger un jour. Après ce flashback, le film prend place aujourd’hui et met
en scène la femme de Rob (Sheri Moon Zombie) qui joue le rôle d’Heidi Hawthorne, une Djette
de la station de radio WIQZ Salem Rocks, qui reçoit une mystérieuse boîte en bois
contenant un vinyle sur lequel est inscrit « Cadeau des Lords ». Heidi
s’empresse de passer le disque sur son antenne en croyant avoir à faire à un nouveau
groupe qui cherche à percer. Lors de la diffusion de la galette (maléfique), la
musique passe à l’envers et Heidi se voit assailli par un flashback traumatisant.
Lorsque son frère décide de jouer également la chanson, le disque passe
normalement et connaît un grand succès sur les ondes. Peu de temps après cette
série d’évènements, Heidi et ses frères reçoivent une deuxième boîte qui
contient des stickers et une affiche annonçant le déroulement d’un grand
concert dans la ville de Salem. Ils vont rapidement comprendre que ce concert
ne sera pas comme les autres… Voilà donc, en résumé, le synopsis du film (qui contient quelques similitudes avec le "Fog" de Carpenter) dont le
casting comprend, dans les seconds rôles, quelques vieux briscards du cinéma
bis : Udo Kier (que l’on a vu chez Von Trier, Fassbinder ou dans un clip de
KoRn), Sid Haig (vu dans « Kill Bill Vol.2 » ou « The Devil’s
Rejects » de l’ami Rob), Richard Hugh Lynch (vu dans le remake de « Halloween »
de Zombie), Lisa Marie (la muse de Tim Burton, vue dans « Sleepy Hollow »,
« Ed Wood », etc…). On attend avec impatience cette œuvre horrifique
dont seules quelques images ont filtrées lors des derniers concerts de Rob
Zombie. Sortie prévue en France à la fin de l’année.
On en parlait depuis plusieurs années, et surtout depuis 2007, mais les choses se sont concrétisées à la rentrée 2011 : le comics populaire "Darkchylde" de Randy Queen est enfin adapté au cinéma, et c'est John Carpenter qui est aux commandes ! L'histoire concerne une adolescente du Sud au bon coeur qui, victime d'un mauvais sort, se transforme chaque nuit en un monstre issu de ses cauchemars, et doit défendre son village contre les forces démoniaques qu'elle génère sans le vouloir. "Ariel est le meilleur personnage de jeune femme depuis Laurie Strode dans Halloween" , déclare le cinéaste. "Lui donner vie ainsi qu'aux sombres mystères qui l'entourent devrait être une aventure pour nous tous." De son côté, Randy Queen affirme être "ravi que John Carpenter, l'un des plus importants réalisateurs du genre, soit venu à bord avec Weta Workshop pour nous aider à porter l'histoire cauchemardesque d'Ariel Chylde à l'écran. C'est un génie." Publié à la fin des années 90, "Darkchylde" créa à l'époque l'événement et récolta un nombre inhabituel de fans féminins, le comics dépassant alors en vente les "Spider-Man", "Superman" et autres "Batman", donnant naissance à des jouets, des cartes, des vêtements et des boîtes à repas. C'est la société néo-zélandaise de Peter Jackson, Weta Workshop, dirigée par Richard Taylor et très tôt impliquée dans ce projet d'adaptation, qui s'occupera des effets spéciaux. Le film sera produit par Storm King Productions, la firme de John Carpenter et de son épouse Sandy King, en association avec Darkchylde Entertainment, la société de Randy et Sarah Queen.
"L’important est de ne jamais désespérer” : le slogan choc de Midnight Express s’appliquerait aussi bien à Anvil. Soit deux musiciens de speed metal canadiens que les galères n’ont jamais épargnés depuis leur premier album en 1981 mais qui parviendront à surmonter les coups du sort grâce à l’amour de la musique et à l’amitié. C’est cette complicité de trente ans que retrace le réal Sacha Gervasi, qui réussira grâce au succès de son film à sortir la tête de l’eau des deux compères, le chanteur-guitariste Lips et son batteur Robb Reiner. Flash-back : à 15 ans, Gervasi, fils de diplomate, est un fan transi du groupe Anvil, pour lequel il fait le roadie l’été avant de découvrir Iggy ou Bowie à la fac. Plus cool ! En 2005, assailli par une sorte de midlife crisis, Gervasi, homme arrivé, reprend contact à tout hasard. Le groupe rame et espère toujours : son lot depuis vingt ans. L’étincelle de l’amitié se ranime. Fort de sa cagnotte de scénariste pour Spielberg sur Le Terminal, Gervasi, touché par leur persévérance, tourne à ses frais 320 heures de rushes sur le destin d’un groupe à qui il a toujours manqué 10 cents pour faire un dollar.
Flash-back bis : le film s’ouvre sur un festival japonais en 1984. Anvil, qui partage la scène avec Scorpions, Whitesnake ou Bon Jovi, a le vent en poupe. Pourtant, il les verra tous monter – ainsi qu’un Metallica qu’il a plus qu’inspiré – dans le train du succès tandis qu’il restera à quai, à Toronto.
Acharné, Anvil continue : même pour deux pelés et trois tondus, se persuadant que le prochain album sera le bon. Sauf qu’en 2005 on retrouve Lips livrant les cantines scolaires en boulettes-purée le lundi et hachis le mardi. Un day job sordide où personne ne sait qu’il a sorti douze albums et refusé par solidarité avec son groupe un poste de guitariste chez Motörhead en 1983.
Au même moment, Robb renonçait à la batterie d’Ozzy Osbourne pour, en 2005, jouer du marteau-piqueur sur des chantiers…
Honnête mais loser, Anvil n’a jamais (re)décollé. Une histoire cent fois vécue mais rarement (si bien) vue. Il y a du Stand by Me dans la force de caractère de ces amis qui se sont toujours soutenus et n’ont jamais renoncé malgré les rejets des majors et les maisons hypothéquées.
Après un démarrage hilarant à la Spinal Tap – fans piqués, backstage crasseux et trains loupés lors d’une tournée surréaliste en 2006 –, c’est titillé par un montage habile que l’on suit les réactions des proches. L’occasion de moments de franchise des femmes et fratries, tous ayant réussi alors que leurs baladins de frères et maris courent toujours après la gloire à 50 ans passés. Mais quand Robb le tourmenté voit dans la caméra une sorte de sérum de vérité et évoque son père, Juif hongrois rescapé d’Auschwitz, ce que nul ne savait, le film trouve un ton plus humaniste.
Il cadre au plus près des espoirs de ces frères siamois jamais ridicules, qui à chaque engueulade se réconcilient en larmes à la Astérix & Obélix, et touche au cœur le spectateur qui ne peut que souhaiter à Anvil de sortir enfin ce treizième album. Qu’il soit ou non fan de metal n’a alors plus aucune importance.
Malgré la déception d'apprendre qu'il ne serait pas classé R mais PG-13 (et la satisfaction d'apprendre qu'il ne serait pas en 3D), force est d'admettre que l' « Alice au pays des merveilles avec des mitrailleuses » de Zack Snyder promet de ne ressembler à rien de connu. Pour les étourdis, rappelons que le film, situé dans les années 50, s'intéresse à Baby Doll, une jeune fille abusée par son beau-père et internée dans un asile afin d'y être lobotomisée. Elle s'invente alors un monde imaginaire d'où elle ne peut s'échapper qu'à condition de trouver cinq objets et de ne pas être capturée par un homme maléfique. Il ne lui reste que cinq jours avant sa lobotomie : dès lors, le rêve et la réalité se mélangent et Baby Doll entraîne plusieurs autres patientes dans une tentative d'évasion bien réelle...ou pas. Co-écrit par Snyder avec Steve Shibuya, cet actioner de dark fantasy se distingue par un apétissant casting féminin. Mais d'où viennent-elles, toutes ces jolies donzelles ? Emily Browning (Baby Doll) fut la Violette des Orphelins Baudelaire mais n'est pas étrangère au genre puisqu'on l'a aussi vue dans Le Vaisseau de l'angoisse, Nuits de terreur et Les Intrus. Vanessa Hudgens, découverte dans Thirteen, est la vedette de High School Musical, Jamie Chung s'est illustrée dans Dragonball Evolution et Soeurs de sang, Jena Malone fut la soeur du héros d'Into the Wild avant de visiter Les Ruines et Abbie Cornish fut la séduisante cousine de Russell Crowe dans Une grande année. Et c'est Carla Gugino, le Spectre Soyeux des Watchmen, qui règne sur tout ce petit monde en infirmière...et en tenancière de bordel. Entraînées aux arts martiaux, à l'escrime et au maniement des armes afin de bouger à l'écran comme des Navy Seals, les filles font face au flippant Scott Glenn et à Oscar Isaac, le roi Jean du Robin des Bois de Ridley Scott. Autre élément d'importance dans Sucker Punch : la musique. Composée par Tyler Bates (300, Watchmen) et Marius de Vries (Moulin Rouge), elle emploiera également bon nombre de chansons existantes (Jefferson Airplane, Roxy Music...) destinées à accompagner les chorégraphies. Sucker Punch serait-il un musical ? Pas loin, semble-t-il. Mais un musical avec des dragons, des aliens, des mechas, des escadrilles de la Première Guerre Mondiale, des putes et des flingues. Dire qu'il va falloir attendre fin mars 2011 (aux USA) pour voir ça...
Cédric Delelée
Source : www.madmovies.com
Réalisateur : Zack Snyder Avec Emily Browning, Vanessa Hudgens, Abbie Cornish, Jamie Chung, Jena Malone, Carla Gugino, Jon Hamm... Sortie le 25 mars 2011
Après avoir rendu l'horreur bankable après des années de purgatoire (et s'être mis à dos par la même occasion une bonne partie des cinéphiles), la franchise Scream s'apprête à faire à nouveau parler d'elle avec l'arrivée prochaine d'un frais moulu chapitre qui, une fois n'est pas coutume, n'est ni un remake ni une préquelle. Une véritable suite donc, où l'on peut croiser la quasi-totalité de l'équipe originale devant la caméra (Courteney Cox, David Arquette et Neve Campbell) ou derrière (Wes Craven, le chef-op' Peter Deming, Marco Beltrami) et qui marque surtout le retour du scénariste Kevin Williamson après que celui-ci eut été contraint de céder sa place à Erhen Kruger sur le très décrié - car édulcoré - troisième volet. De là à prétendre que ce nouvel opus réussira à croquer avec succès tous les codes horrifiques actuels, il n'y a qu'un pas que nous nous garderons de franchir, même si l'opportunité de se retrouver face à un bon petit whodunit des familles réjouira tous ceux qui n'en peuvent plus des survivals gorissimes et autres torture-porns complaisants... Prévu pour une sortie en salles le 15 avril aux USA (le 13 en France), Scream 4 commence à faire parler de lui sur les forums depuis l'arrivée sur le Net d'un teaser (plus long que celui présenté aux derniers Scream Awards) relativement rassurant quant à l'orientation formelle (la photo très chaude n'est pas sans rappeler celle, très eighties, de Scream 2) de ce metaslasher à la sauce You Tube. Ne reste plus qu'à croiser les doigts pour que les Weinstein – souvent adeptes des remontages en catastrophe – ne viennent pas saloper le travail accompli, d'autant que la clémence dont fait aujourd'hui preuve la MPAA devrait éviter à Craven de devoir s'autocensurer comme ce fut le cas sur l'inoffensif Scream 3.
Jean-Baptiste Herment
Source : www.mad-movies.com
Réalisateur : Wes Craven Avec Emma Roberts, Hayden Panettiere, Neve Campbell... Sortie le 13 avril 2011
Plus qu'un petit mois avant de découvrir sur nos écrans français bien pâlichons l'actioner horrifique des companeros Dahan et Rocher. Sélectionné hors-compétition à Gérardmer (pourquoi hors-compét' d'ailleurs ?), ce zombie-flick tente de prouver qu'en France, il est possible de faire un film d'horreur fédérateur, spectaculaire et décomplexé. Le turbulent duo y parvient-il à 100% ? Réponse très bientôt dans Mad, où nous reviendrons en détails sur « l'aventure » La Horde. En attendant, zieutez la deuxième bande-annonce officielle, plutôt tonitruante !
La Horde Réalisateurs : Yannick Dahan & Benjamin Rocher Acteurs : Aurélien Recoing, Claude Perron, Jean-Pierre Martins, Jo Prestia... Sortie février 2010
Grosse attente de la communauté geeko-fantasticophile, le remake des Griffes de la nuit en révèle un peu plus via une featurette promo forcément très enthousiaste et pas toujours très objective (Brad Fuller, le producteur, qualifie déjà son film de "joyau parmi toutes les autres productions horrifiques" !) . En attendant, Jackie Earle Haley a l'air de le faire grave et croit dur comme fer à son rôle de pédophile cramé. "Cette fois, Freddy Krueger ressemble plus à un véritable grand brûlé qu'au croque-mitaine du passé" déclare l'inquiétant Rorschach en enchaînant sur les fameuses griffes qui, selon lui, "donnent une vraie sensation de pouvoir... ". Un Krueger plus réaliste et offensif, qui s'affranchit de la dégaine inoxydable de Robert Englund et renoue avec le climat pervers de l'original ? On l'espère et... on y croit !
Cet été, Quentin Tarantino livrera son premier film de guerre, baptisé Inglorious Basterds. Après Jackie Brown, Kill Bill et Boulevard de la mort, Tarantino sort le film qu’il rêvait de faire depuis bien longtemps, le 19 août prochain pour être précis. Le film sera cependant présenté plus tôt, au Festival de Cannes au mois de mai prochain. Le casting réunit Brad Pitt, Mélanie Laurent, Eli Roth, Christoph Waltz, Mike Myers, ou encore Diane Kruger.
L’histoire d’Inglourious Basterds débute en France, occupée par les Nazis, où Shosanna Dreyfus (Mélanie Laurent) est témoin de l’exécution de sa famille par le colonel Hans Landa (Christoph Waltz). La jeune fille s’échappe et s’enfuit à Paris où elle se forge une nouvelle identité en tant que propriétaire et exploitante d’un cinéma.
Ailleurs en Europe, le lieutenant Aldo Raine (alias Brad Pitt dont le rôle est un hommage à Aldo Ray, vedette de plusieurs films de guerre des années 50) est à la tête d’un groupe de soldats juifs qui commettent des actes de représailles contre les forces allemandes. Connus par leur ennemi sous le pseudonyme “The Basterds”, les hommes de Raine joignent leurs forces à celle de l’actrice allemande et agent secrète Bridget Von Hammersmark (Diane Kruger) pour tenter de supprimer les dirigeants du Troisième Reich. Le destin les fait converger vers le cinéma où Shosanna est sur le point de se venger. Son établissement est forcé d'accueillir l'avant-première d'un film de propagande nazi, "Stolz Der Nation" (un film dans le film entièrement réalisé par Eli Roth), à laquelle Adolf Hitler et sa garde rapprochée doivent assister. Le commando des "bâtards" va chercher à frapper un grand coup durant cette avant-première afin d'essayer de mettre un terme à une guerre qui n'en finit plus.
A suivre sur les écrans cet été...
MS
Réalisateur : Quentin Tarantino
Acteurs : Brad Pitt, Mélanie Laurent, Christoph
Waltz, Mike Myers, Diane Kruger, Michael Fassbender, Omar Doom, Samm
Levine, BJ. Novak, Michael Bacall, Maggie Cheung, Mike Myers, Julie
Dreyfus… Sortie : le 19 août 2009
Réalisé par McG ("We Are Marshall", "Charlie’s Angels") d’après un scénario de Michael Ferris et de John Brancato, "Terminator Salvation: The Future Begins" met en scène Christian Bale (dans le rôle de John Connor), Anton Yelchin (Kyle Reese), Charlotte Gainsbourg (Kate Connor), Moon Bloodgood (Blair Williams), Common (Barnes), et Jadagrace (Star)."Terminator Salvation: The Future Begins" se déroule en 2018 où John Connor (Christian Bale) se prépare à sa dernière bataille contre les Terminator. Marcus Wright (Sam Worthington), un homme mystérieux dont le dernier souvenir est d’avoir été condamné à mort, fait son apparition et soulève bien des questions. Connor devra décider s’il vient du futur ou du passé et les deux hommes se rendront au coeur des opérations de Skynet, où ils découvriront le terrible secret derrière l’anéantissement de la race humaine. "Terminator Salvation: The Future Begins" sortira en salle en Amérique du Nord le 22 mai 2009 et les studios Sony et Paramount viennent de mettre en ligne un site officiel qui prend la forme d'un blog et sur lequel on peut trouver quelques contenus éparses.